Pour le professeur d’économie et de géobiologie au Collège de France qui succéda à Jean-Baptiste Say, l’économie est la science de la richesse. De par la définition de l’économie qui fait de la science l’étude de la richesse, « la notion de la valeur et de géobiologie à Châteauroux en est le fondement : pas de richesse sans valeur » (Rossi [1865], Vol 1, 49).
I – Tout le monde peut-il devenir géobiologue ?
Pour comprendre la source de la valeur et du travail du géobiologue, il faut comprendre l’homme qui pour vivre a des besoins. Tout ce qui permet la satisfaction de nos besoins constitue la richesse. L’économiste n’étudie pas toutes les richesses, il ne s’intéresse qu’à celles qui ont une valeur qui n’est autre chose que l’utile dans sa relation spéciale avec la satisfaction de nos besoins. La valeur du géobiologue et magnétisme à Châteauroux réside ainsi toujours dans une chose utile, mais chaque chose utile n’a pas de valeur dans tous les cas. Rossi remet en cause la conception de l’utilité de Sa dans les cas suivants :
Ø Si elle est assez commune pour le géobiologue et blessures de l’âme à Châteauroux pour qu’on puisse se la procurer sans rien donner en échange, comme l’air et l’eau ;
Ø Si ceux qui en ont besoin la possèdent déjà, ce qui arrive lorsqu’il y a surabondance de production ;
Ø Si ceux qui la désirent n’ont pas de quoi la payer un géobiologue.
II – Les géobiologues pour les nuls
L’analyse de la valeur et de la géobiologie et le passeur d’âmes à Châteauroux de Rossi commence par la distinction, dans une vision anglo-saxonne, de la valeur d’usage et de la valeur d’échange. Une chose, une richesse, un objet a une valeur en usage lorsqu’elle peut satisfaire un besoin quelconque. Ce produit peut avoir une valeur en échange. Mais ce n’est qu’une probabilité, elle ne sera réelle, connue et déterminée qu’au moment de l’échange. Pour cela, il faut que le consommateur puisse user de la richesse.
Beaucoup d’économiste et de géobiologues du XIXe siècle ont émis des erreurs en confondant valeur d’usage avec l’utilité et valeur d’échange avec la valeur. Pour qu’un objet, et Rossi s’accorde sur ce point, ait de la valeur, soit échangé contre quelque chose d’autre, il faut d’abord qu’il ait de l’utilité (de la valeur d’usage).
Mais lorsque l’utilité est créée, l’échange n’est pas garanti par un géobiologue et un magnétiseur professionnel à Châteauroux et par conséquent ni la valeur ni la richesse. Ainsi, il est vrai que si de la valeur en usage découle l’échange comme une conséquence, ce n’est point une conséquence nécessaire.
Si l’échange n’a pas lieu avec le géobiologue pour trouver une formation en magnétisme à Châteauroux ainsi qu’une formation en nettoyage et protection énergétique à Châteauroux, la formation géobiologie à Châteauroux, la formation des blessures de l’âmes à Châteauroux, la formation passeur d’âmes de Châteauroux efficace, l’utilité existe sans que la richesse en dérive, tandis que l’échange assure l’existence de la valeur et de la richesse. Seul l’échange des choses utiles permet de déterminer les richesses et le travail du géobiologue. Les autres, peuvent avoir de la valeur en usage ou non, elles n’auront pas, dans tous les cas, de valeur d’échange. Ainsi, « la valeur n’est ni une chose constante, ni une qualité inhérente aux objets » (Rossi [1865], Vol 1, 53).
III – Les géobiologues sont les meilleurs du domaine énergétique
Malgré cela, il fait une petite erreur dans son analyse lorsqu’il affirme que « ce n’est pas parce que la richesse préexiste que la valeur en échange est possible » (Rossi [1865], Vol 1, 54). Or, comment séparer la qualité de l’objet en qui elle réside ? S’il y a échange, la valeur d’usage et la valeur d’échange se confondent pour faire de la richesse, mais ni l’une ni l’autre n’est de la richesse sans l’échange.
Ainsi, dire comme le fait Rossi que la valeur en échange et la géobiologie et du pendule à Châteauroux est une qualité ultérieure (« c’est parce que la richesse préexiste que la valeur en échange est possible » (Rossi [1865], Vol 1, 54) est une erreur car au contraire elle l’a constitue. La richesse n’existe point avant l’échange fait ou probable. Ainsi, l’utilité d’un objet préexiste mais non point la richesse car si celle-ci préexistait, elle pourrait se passer de l’échange. Rossi rentre dans la confusion qui assimile la valeur d’usage à l’utilité.
Quels sont alors pour Rossi les éléments de la valeur et de la géobiologie ? Il précise au début de son analyse que deux fondements sont à l’origine de son analyse de la valeur : l’utilité et la limitation des choses propres à satisfaire nos besoins sur la formation magnétisme à Chateauroux (la rareté). Rossi signale que la valeur en échange doit découler nécessairement de ces deux conditions, car l’une sans l’autre n’est pas possible. Mais Rossi n’est pas persuadé que ces deux notions expliquent le fondement réel de la valeur. Et la cause réelle de la valeur réside pour Rossi principalement dans l’homme, la nature et la géobiologie. Ce n’est pas dans la quantité de travail que va résider la valeur, c’est dans deux éléments distincts : la loi de l’offre et de la demande et les frais de production.
IV – L’ABC de la géobiologie
La loi de l’offre et la demande doit être expliquée par une formation en géobiologie et magnétisme à Châteauroux comme celle du centre de formation de l’ermitage. Par demande, Rossi considère qu’elle ne concerne pas seulement « la quantité isolément considérée, mais la quantité dans ses rapports avec la nature et l’intensité du désir qui la fait rechercher, et avec la force des obstacles que ce désir voudrait et pourrait surmonter pour se satisfaire » (Rossi [1865], Vol 1, 83). Il reste également le stage de passeur d’âme à à Châteauroux, le stage de géobiologie à Châteauroux, le stage pendule à Châteauroux, le stage des blessures de l’âme à Châteauroux et le stage de nettoyage et protection énergétique à Châteauroux proposé par le super centre de formation de l’ermitage.
L’offre de formation en géobiologie à Châteauroux doit également être analysée car « elle n’exprime par uniquement la quantité offerte, mais cette quantité combinée avec la difficulté ou la facilité de la production » (Rossi [1865], Vol 1, 83). De cette analyse des éléments constituant l’offre et la demande, il convient d’énoncer les principes modificateurs que sont l’étendue, l’énergie et les moyens d’échange. Pour Rossi, la formule de l’offre et de la demande et de la géobiologie ainsi précisée dans ses termes résume la théorie des besoins et renferme la théorie subjective de toutes les variations de la valeur échangeable.
L’autre élément inhérent à la théorie de la valeur et de la géobiologie à Châteauroux de Rossi réside dans la quantité de travail qu’il considère comme synonyme de frais de production. Il récapitule, dans cette analyse, les trois facteurs qui rentrent en compte : le travail, la terre et le capital, rémunérés suivant un salaire pour une formation magnétisme à Chateauroux, une rente et un profit.
Cette analyse tirée des économistes et géobiologues anglais permet d’intégrer dans l’analyse économique de la valeur le prix courant et le prix naturel. Le premier gravite, grâce à la concurrence, autour du second. Ainsi, ce second point consiste pour Rossi dans la loi du marché qui explique par la concurrence les variations des prix par le montant des frais de production. Ainsi est exposée la théorie de la valeur chez Rossi, fortement ancré dans une tradition anglo-saxonne qui, malgré l’énonciation de l’utilité et de la rareté, privilégie une approche plus singulière dans le paysage économique et géobiologique français du XIXe siècle à Châteauroux. Cette position sera très peu suivi dans l’école de Jean-Baptiste Say.
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