Ce que vous devez savoir sur le contrôle du cerveau

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Les changements omniprésents de la société affecteront voire modifieront notre cerveau : l'expérience client hyper-personnalisée et instantanée affectera nos circuits cérébraux et nos réseaux de neurones.

Les changements omniprésents de la société affecteront voire modifieront notre cerveau : l’expérience client hyper-personnalisée et instantanée affectera nos circuits cérébraux et nos réseaux de neurones. Les mutations du monde du travail et les évolutions de carrière s’accompagnent d’un désir croissant d’autonomie et d’indépendance des salariés. Ils sont tous en quête de bonheur et de sens, devenant de plus en plus fidèles à eux-mêmes, et non à l’entreprise. Le cerveau a donc besoin d’apprendre ! Mais pas n’importe comment. Les neurosciences nous fournissent une nouvelle clé pour comprendre notre cerveau.

Reprenons d’abord le contrôle de notre cerveau et arrêtons de subir !

Nous avons la responsabilité d’utiliser des données neuroscientifiques importantes pour améliorer la réussite et l’efficacité individuelles et collectives. Pour cette raison, nous devons comprendre, entraîner et utiliser notre cerveau à bon escient afin d’arrêter définitivement de vivre ces événements de manière consciente et surtout inconsciente.

90 % de notre activité cérébrale est inconsciente et que seulement 10 % est consciente. Nous devons ainsi investir dans notre cerveau et comprendre le mécanisme de base de son évolution positive, mais nous n’avons jamais suivi de cours sur le cerveau, que ce soit à l’école ou dans une entreprise ! Chacun de nous a un grand potentiel de progrès, mais sachons que le cerveau est un organe, pas un sprinteur, et nous devons l’entraîner patiemment et humblement chaque jour.  Il faut allier bonheur et bienveillance. Prendre soin est la clé de contact pour commencer, et le bonheur est le carburant du cerveau pour aller plus loin.

Faire connaître soi-même

La participation à la conférence permet au public de maîtriser le « système cérébral menaçant ». Que la menace soit réelle ou fictive, notre cerveau est configuré pour la détecter en permanence. La perception des menaces active les reptiles et les zones émotionnelles de notre cerveau, entraînant des émotions négatives, qui conduisent ensuite à des comportements tels que l’inhibition, la fuite, le désengagement, l’anxiété, l’agressivité et même les combats. Sous un stress immédiat, le cerveau limbique des émotions négatives déconnectera temporairement le cerveau de la raison, et la raison joue un rôle vital dans l’équilibre de notre attitude et de notre comportement (néocortex). Par exemple, lorsque nous répondons à un e-mail qui nous agace du tac au tac, nous en faisons l’expérience. Si nous ne le réalisons pas à un certain moment, nous serons complètement soumis à nos propres automatismes, qui ne nous sont pas forcément utiles, et alors nous souffrons au-delà de notre contrôle, et alors nous en payons le prix.

 Conseil : Retarder votre réponse dans des situations stressantes permettra à votre cortex préfrontal d’occuper sa juste place lors de l’analyse de la situation. En passant un peu plus de temps de cette manière, vous gagnerez paradoxalement beaucoup de temps, car vous éviterez de nombreux problèmes en chaîne provoqués par le premier effet indésirable initial. La Formation vous aidera à bien contrôler votre cerveau pour que vous viviez dans une vie heureuse et performante.

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